Patricia Petibon Et Son Fils
Patricia Petibon Et Son Fils – Afin d’apprendre de William Christie, Patricia Petibon voyage pour le rencontrer. Son ambition de toujours de se produire à l’Opéra Garnier s’est réalisée grâce à lui. Après cela, elle voyage à l’époque du baroque. Patricia Petitbon a dirigé un concert à Aix-en-Provence pour présenter.
Son nouvel album “Rosso” le 18 mai 2010, un jour avant qu’elle n’incendie la Salle Pleyel à Paris. La fougueuse rousse revient sur le répertoire baroque italien qui a fait sa renommée, toujours avec sa touche moderne signature Patricia Petibon, qui a obtenu la première place au Conservatoire de Paris en 1995, a beaucoup accompli depuis.
La popularité de la fougueuse rousse peut être attribuée à sa personnalité fougueuse ainsi qu’à ses interprétations du répertoire baroque. Elle attire fréquemment les critiques de la communauté de l’opéra pour sa volonté de combiner les genres et d’injecter un peu de folie dans ses performances.
Néanmoins, Patricia Petibon est universellement reconnue cet accomplissement est principalement dû à ses remarquables capacités vocales. La soprano avec son talent de colorature est peu commune en France. C’est-à-dire qu’elle possède une gamme vocale impressionnante et peut exécuter des vocalisations complexes avec aisance et.
Grâce, comme la mélodie emblématique “Reine de la nuit” de Mozart malgré sa formation en musique classique, cette chanteuse aime le rock and roll. Le caprice, le tempérament ou encore l’obésité morbide sont autant de qualités nécessaires chez un chanteur d’opéra parfois les deux, comme.
Un mashup de Maria Callas et Castafiore, le tout en une seule représentation répondant à la demande de Paris Match pour un bustier, elle est arrivée pour le tournage dans un tutu vibrant rappelant le travail des expressionnistes allemands. Elle peut passer d’un ton comique à un ton tragique en un clin d’œil, malgré.
Ses cheveux flamboyants et sa coupe de lutin elle est tout à fait le caméléon de plus, elle ne se soucie pas de la façon dont elle se présente aux autres. Ce n’est pas simple d’être une soprano de renommée mondiale, surtout une spécialiste du répertoire baroque. Elle affirme: “Je veux que les autres aient accès à la beauté”, suggérant.
Que les tours d’ivoire ne lui ont jamais été destinées cela ne devrait pas être un avantage je ne supporte pas la prétention de la foule d’applaudissements “Hush”. Plus c’est rock’n’roll, mieux c’est. En duo avec Pagny, elle chante “Dialogue des carmélites” au Théâtre des Champs-Elysées et est prise pour une elfe.
Elle semble à l’abri de tout choc. Un soir, un téléphone portable sonne au milieu d’un spectacle. Elle a enlevé sa chaussure, l’a mise à son oreille et a crié “Bonjour” avec un sentiment d’accomplissement. Et si personne n’est là pour la déranger, elle dansera avec une poule factice sur du Michel Legrand ou dansera du Bernstein.
Chaque jour, elle conduit son fils à l’école, fait les courses et se coiffe elle-même
Il est possible d’être à la fois professionnel et drôle dès son plus jeune âge, elle a su prédire son paradis par le son. Son grand-père avait collaboré avec Chagall pour peindre le plafond de l’opéra et son arrière-grand-tante avait fait une apparition dans le premier film de Maurice Chevalier.
Quand Patricia n’avait que quatre ans, elle a supplié ses parents de la laisser prendre des cours de piano. Après 39 ans, elle est toujours très recherchée pour l’opéra, les concerts et les ateliers de maîtres. Sans perdre de vue sa priorité absolue : son adorable fils de 6 ans une lève-matin, elle se lève tous les jours à sept heures.
Conduire son enfant dans une nouvelle école elle est trop occupée par son horaire chargé de vie saine et de transport pour se permettre de rêver. Elle fait elle-même ses courses, se coupe les cheveux et se détend au son du jazz, de Camille et de Björk. L’humilité, et non la légèreté, est le partenaire rimant de la simplicité.
En athlète “forcément à l’écart et solitaire”, Patricia Petibon s’extirpe des coulisses “morte de peur” pour monter sur scène. Sa voix est un instrument précieux et il fait de son mieux pour la garder en sécurité alors qu’il exerce sa profession sans l’aide d’un microphone. Les cordes sont si brutes après avoir beaucoup chanté que même une.
Comment vous est venue l’idée de votre prochain récital/album L’amour, la mort, la mer?
C’est un enregistrement court et largement impromptu que j’ai fait avec mon amie pianiste Susan Manoff. J’aime quand l’inspiration me frappe et que la vie se donne libre cours pour produire rapidement quelque chose de cette nature. J’interprète son sujet central comme un voyage intérieur, un Ulysse émotionnel.
Quels critères avez-vous utilisés pour décider quelles compositions interpréter?
Vraiment, pas du tout; ce sont des décisions qui ont été prises pour moi des choix faits avec sensiplutôt qu’avec un souci de rigueur académique ou une idée préconçue de ce qu’un récital “devrait” être. La voix lyrique exquise, bien que légèrement datée, n’est pas en jeu dans ces décisions, qui sont.
En lien avec vos rôles d’opéra, qu’espérez-vous accomplir et quels obstacles le récital présente-t-il?
L’opéra est une forme d’art très ciblée dans laquelle vous travaillez sous la direction d’un metteur en scène et d’un chef d’orchestre. Les récitals ont généralement lieu dans des cadres plus petits et plus intimes, et ils sont plus personnels, artisanaux et ouverts. J’ai passé les deux dernières décennies à me produire dans des récitals, où j’ai.
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